Freegun x La Vache qui rit : la collab textile la plus culottée de l’été 2025

Quand une icône fromagère s’invite dans le dressing : Freegun et La Vache qui rit signent une collection capsule aussi insolente que stylée, déjà en rupture sur certains modèles.
Un partenariat pop culture entre food et fashion
L’été 2025 démarre sur les chapeaux de roue avec une collab totalement inattendue entre Freegun, marque française de sous-vêtements streetwear, et La Vache qui rit, la célèbre marque du groupe Bel. À l’occasion des 18 ans de Freegun, les deux marques célèbrent leur attachement à la pop culture à travers une capsule mode inédite, disponible en grande distribution (Carrefour, Leclerc, Intermarché) dès le 28 avril 2025.
Une collection street & cheese
La collection surprend par sa variété et sa cohérence visuelle :
👕 T-shirts, 🧢 casquettes, 🧦 claquettes, 🎒 sacs à dos, 🧍 caleçons, tous estampillés du célèbre sourire de la vache rouge, revu à la sauce Freegun.
Pensée en interne par les équipes marketing des deux marques (Freegun – Groupe Textiss et Bel), cette collab est portée en relations presse par l’agence Oh My Com. Et le succès est déjà là : certaines références ont affiché des ruptures B2B avant même leur mise en rayon.
Une recette virale bien rodée
Ce n’est pas leur première collaboration : Freegun et La Vache qui rit en sont à leur troisième partenariat en trois ans, preuve que le mariage entre audace textile et icône fromagère fonctionne.
L’enjeu ?
Toucher une cible plus adulte avec une gamme à tonalité plus premium, tout en gardant l’ADN fun et coloré qui a fait le succès de Freegun auprès des jeunes générations.
Une vache toujours sur le devant de la scène
Cette collab intervient alors que La Vache qui rit renouvelle son partenariat avec le Tour de France 2025, renforçant sa présence dans les grands événements populaires français. Une stratégie parfaitement alignée avec ce type de co-branding, où l’humour et la viralité priment.
À l’image de Lidl et ses baskets collectors, cette opération montre qu’en 2025, le mélange des genres – food et fashion – peut générer du bruit, des ventes, et une belle visibilité sur les réseaux sociaux.
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